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mardi 29 août 2017

Partie 1 : le Call To Action (CTA) et son utilité

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Qu’est-ce qu’un Call To Action ?

Le “Call-to-action” (ou CTA) est un bouton “d’appel à l’action” qui a pour objectif d’améliorer votre taux de conversion. Dans cette optique et pour booster votre business il est indispensable d’en insérer dans les pages de votre site web et landing pages pour guider les utilisateurs vers votre objectif de conversion. Le style graphique du CTA peut varier en fonction de vos objectifs et de la charte graphique de votre site.
Voici quelques conseils pour optimiser et boostez la performance de vos pages :

Le texte d’action

Pour attirer l’internaute, il faut utiliser des termes attractifs comme : “gratuit”, “immédiat”… On oublie les mots ennuyeux comme “obtenir”, “essayer”, “envoyer”… pour se concentrer sur la personnalisation et l’implication de l’internaute dans l’action. En utilisant la première personne vous aurez une très nette augmentation du nombre de clics. Il est fortement conseillé d’accompagner le verbe d’action d’un groupe de mots en rapport avec votre offre : « je télécharge la brochure», « je m’abonne à la newsletter » …
Vous pouvez aussi enrichir votre CTA en ajoutant des termes séduisants pour valoriser votre offre et encourager les internautes à cliquer : « j’essaye gratuitement le logiciel », « je commande immédiatement le pack »…
Le texte de votre CTA ne doit pas dépasser 2 à 5 mots. Vous pouvez cependant l’accompagner d’une phrase d’accroche comme un jeu de question / réponse :
Vous souhaitez en savoir plus sur nos offres ? > Je télécharge la brochure
Une fois que vous avez défini le texte de votre CTA, il faut pour être le plus efficace et le plus clair possible, que le texte soit grand et lisible. Il faut trouver le juste équilibre entre un bouton insignifiant (trop petit) et un bouton (trop gros) effrayant, agressif. Le texte de votre CTA doit être suffisamment grand pour attirer l’attention, mais pas trop pour ne pas recouvrir complètement le reste du contenu.

Stratégie de réduction

Créez un sentiment d’urgence. Vous pouvez déclencher un clic en inspirant subtilement un sentiment d’urgence dans votre CTA : « Inscrivez-vous et Obtenez 50% de réduction et plus ! » En faisant une offre, vous séduisez les internautes, en créant un besoin qu’ils n’avaient pas forcément au départ. S’il est intéressé par le produit, la réduction va l’encourager à cliquer.

Les CTA secondaires

Parfois, vous aurez des boutons « secondaires » à placer sur votre site web (vers la page contact, une autre page du site…). Ces CTA doivent être moins accrocheurs que votre CTA principal. Pour vos boutons « secondaires », vous pouvez utiliser un style graphique différent : des nuances de gris ou des couleurs monochromatiques pour rester neutres tout en étant visibles.
Le CTA principal doit toujours être le plus grand et le plus visible de par sa couleur, son accroche, sa forme… Vous allez devoir mettre en place une hiérarchie naturelle des CTA en fonction de leur importance.
Toutefois, veillez à garder une homogénéité de couleur et de forme. Si vous choisissez de faire vos CTA carrés, conservez ce style et faites uniquement une variation de couleur (par exemple : bleu pour le CTA principal et gris pour les secondaires).
Un bon CTA se construit en deux temps :
  • La partie stratégique (vu ci-dessus)
  • La partie graphique (à découvrir dans la partie 2 à venir)
La partie rédactionnelle et stratégique est primordiale. Pour voir son taux de clics augmenter, une accroche séduisante et efficace est donc indispensable. Il est important de retenir que, pour bien l’optimiser, il faut impliquer l’internaute dans l’action et le séduire avec une réduction ou une valeur ajoutée (réduction, cadeau pour toute commande…) .
L’autre point à prendre en compte est la différenciation entre le CTA principal (là ou vous voulez mener l’internaute) et les CTA secondaires (vers les pages internes qui contribuent au bon référencement de votre site par un maillage entre les pages) d’un point de vue graphique et rédactionnel.
Infographie-LE_CTA_ET_SON_UTILITE

Source

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AVANT/APRES : Comment le marketing digital a changé la donne du business

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La plupart des gens aiment bien regarder des photos du type avant/après… mais au niveau marketing, sommes-nous tous bien conscients qu’il y a aussi un avant/après ? Parce qu’en termes de marketing, les choses ont pourtant sacrément changé ! Avant, on s’appuyait sur un bon service client via le site en ligne, maintenant le service client passe de manière incontournable par une présence marquée sur les médias sociaux. Et le cold calling (action consistant à émettre des appels sortants vers une population/cible pas spécifiquement réceptive) pourrait bien être en voie de disparition (enfin). Découvrez ci-après comment trois pierres angulaires du marketing ont évolué du plus traditionnel au plus moderne, annonçant ainsi un âge nouveau, celui du marketing digital. Et quelles sont aujourd’hui les best practices en rapport, qui vous permettront de faire mieux que vos concurrents.

AVANT : Service Client – APRES : Social Media Management

Les fondements du service client restent les mêmes ; écouter le client, le client a toujours raison, et il faut toujours assurer le suivi client, OK. Mais à part ça, en fait, tout a changé. Et même, l’endroit où vos clients s’attendent à trouver les réponses à leurs questions a changé aussi. Quand vos clients ou vos prospects ont une question ou – on espère pour vous que non – un problème, l’une des premières choses qu’ils font maintenant c’est de taper une requête sur Google, et/ou d’aller vous parler sur l’un de vos réseaux sociaux. Et ils veulent une réponse immédiate, 24 heures sur 24, et 7 jours sur 7. Et si personne ne les entend ? Et bien vous êtes mal barré.
L’exemple ci-dessus présente quelques résultats extraits d’une recherche Twitter rapide sur la mention « Colis Privé » Tous les tweets sont globalement hyper-négatifs. Pourtant quand on y regarde de plus près on observe que le Community Manager de la marque s’efforce de répondre rapidement et de trouver une solution à tous les problèmes de livraison évoqués par les internautes. On constate de facto que toutes les marques, grandes comme petites, se servent des médias sociaux tant pour élargir leur communauté que pour répondre en ligne aux consommateurs, en utilisant les réseaux comme un nouvel espace clientèle.

AVANT : Appels clients – APRES : Blogging

La meilleure des nouveautés à propos du digital marketing est désormais le processus de génération de leads (prospects qualifiés) Au lieu de balancer à tire-larigot des contenus intrusifs comme des spots TV ou des cold calls, le marketing de contenu et d’information-à-votre-service consiste maintenant à faire en sorte que ce soit le client lui-même qui vous trouve, et s’engouffre tout seul dans votre entonnoir de conversion… C’est tout à fait le même processus que vous-même suivez lorsque vous êtes à la recherche d’un fournisseur ou d’une nouvelle affaire. Par exemple (exemple d’origine dans l’article US), vous cherchez un nouvel imprimeur pour refaire vos cartes de visite, mais vous ne savez pas s’il vaut mieux vous adresser à une société dans votre ville ou à une marque nationale… Dans ce cas, vous n’allez pas formuler une requête Web du type « imprimeur Richmond, Virginie  » mais plutôt du type « imprimeur local ou national » (tendance vue par Google dans les requêtes) Et que ressort-il en premier de cette recherche ? Un article de blog d’une société X, intitulé « Cartes de visite : acheter local ou en ligne ? ». Un article récent et détaillé qui vous explique que vous pouvez avoir des cartes de visite de haute qualité chez un petit imprimeur (eux donc), au même prix voire moins cher que chez un géant du low-cost comme VistaPrint. Sans un seul cold call ou mail direct, cette petite société a créé un chemin menant à elle, pour tous ceux cherchant un (bon) imprimeur, elle leur a expliqué pourquoi il pouvait être intéressant de s’adresser à un petit imprimeur local comme elle, et toutes ses informations de contact sont présentes dans l’article. Vous ne pensez pas que ce genre de méthodes fonctionnerait avec votre propre site ?

AVANT : Données socio-démographiques – APRES : KPIs

Avant, la publicité utilisait des voies à sens unique, avec de l’affichage, des spots radio ou bien TV. Aujourd’hui encore, de trop nombreuses agences de pub sont figées dans cette démarche. Cela signifie que les chiffres importants de vos campagnes ne sont pas les vôtres, mais ceux que vous fournit l’agence, tels que données démographiques, statistiques de téléspectateurs… Dans ce nouveau monde du marketing digital, la tendance s’est inversée. Les statistiques que vous voulez obtenir sont désormais en rapport avec votre business en propre, les fameux Key Performance Indicators, qui eux vont vous dire comment marche vraiment vos affaires. Au lieu de vous focaliser sur ce que les publicitaires peuvent faire pour votre marque, vous devez maintenant étudier ces trois indicateurs majeurs relatifs à votre performance passée : Comment votre audience arrive sur votre site en ligne ? Où se trouvent vos clients sur le Web ? Quelle technologie permet à vos clients d’accéder à votre site ? Voilà finalement en quoi consiste la nouvelle donne du marketing digital en termes de business : rencontrer vos clients dans un nouvel espace, via votre site en ligne, votre contenu, et votre présence sur les médias sociaux, afin d’être disponible et informatif, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. source

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jeudi 17 août 2017

Un écran pour visualiser les réseaux sociaux en temps réel

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Les usagers d’un service, les clients d’une marque l’ont rêvé. Les acteurs du web, innovants et créatifs, l’ont réalisé. Les entreprises se trouvent comblées ! On parle ici d’une nouvelle stratégie marketing dont la mise en oeuvre est liée à Internet et à une cellule de communication spécialisée dans la gestion des réseaux sociaux et des plates-formes de communication virtuelle. Cette nouvelle arme du community manager, car c’est bien lui qui en aura la charge, s’appelle la Social Room.

La réponse adaptée à la transformation de la relation avec les clients

Globalement, l’objectif de la Social Room d’une entreprise est de réaliser une veille complète et permanente de ce qui « se dit » sur elle, principalement au sein des réseaux sociaux et plus globalement d’Internet. En conséquence, elle permet d’anticiper, mais surtout de réagir le plus rapidement possible aux interventions des internautes, que celles-ci résultent d’un mécontentement ou d’une satisfaction. C’est en ce sens que la Social Room contribue à l’instauration d’une qualité élevée et à l’amélioration constante de la relation avec la clientèle. La communauté des consommateurs se servent d’Internet pour échanger avec les marques : leur faire des réclamations, leur exprimer une déception et une colère, leur présenter des sollicitations, les féliciter et les encourager. Il ne fait plus aucun doute que le Web et les réseaux sociaux ont métamorphosé en profondeur le rapport entre l’entreprise et le grand public.

Le nouveau couple gagnant : le community manager et la Social Room

La relation client a subi une transformation : son nouveau visage est celui de la proximité avec les chalands, lesquels sont devenus, du moins dans leur majorité, des internautes et des mobinautes notoires. Dans ces conditions, une marque qui souhaite acquérir et préserver sa notoriété a tout intérêt à se doter d’une équipe de community managers opérationnelle 24h sur 24 et 7 jours sur 7. C’est pratiquement l’unique aménagement horaire permettant à ces spécialistes de la communication sur les réseaux sociaux, et plus généralement sur la toile, de répondre dans les plus brefs délais aux demandes grandissantes et aux commentaires à profusion des internautes. La Social Room leur est d’une aide considérable dans l’exécution de leur mission.

Une solution profitable au chiffre d’affaires

Les premières Social Room sont apparues vers 2010 (prenez l’exemple de Dell). Depuis 2016, l’usage de cette organisation se répand inexorablement au sein des entreprises et des organisations. Ces dernières ont rapidement compris l’avantage présenté par ce dispositif : la Social Room constitue un moyen redoutablement efficace pour intensifier considérablement l’interaction entre les entités utilisatrices et les internautes. Autrement dit, les structures qui l’adoptent vont pouvoir répondre du tac au tac aux réactions des internautes. La Social Room dope leur pugnacité et stimule leur réactivité. L’effet sur la psychologie du public est pratiquement immédiat. Pour les consommateurs, qu’ils soient clients ou non, l’entreprise est proche d’eux, elle est dynamique, elle se soucie de leur satisfaction. La Social Room, en combinaison avec d’autres techniques marketing, va donc façonner ou remodeler l’image de l’entreprise en lui faisant prendre une orientation positive. La suite est logique : d’une belle réputation découle de beaux chiffres d’affaires.

Le tableau de bord nouvelle génération du Community Manager

La Social Room peut être définie comme un espace (une pièce ou une salle) où opèrent les community managers d’une marque. Jusque-là, il n’y a rien d’exceptionnel. La singularité provient de l’agencement de cet espace : une Social Room abrite des écrans (parfois fixés au mur) sur lesquels est présentée de manière chronologique l’activité qui règne au sein des profils créés par l’entreprise sur les réseaux sociaux. Ces écrans affichent, par ailleurs, des graphiques, des statistiques et des données chiffrées (Key Performance Indicator, Return On Investment…). Lorsque l’on pénètre dans une Social Room, on a un peu l’impression d’être dans la salle de crise de la Maison Blanche, un département de gestion des crises d’un service de renseignements ou un bureau de trader. Il y règne à la fois une ambiance animée et une atmosphère pesante, car l’équipe doit être concentrée, rigoureuse et minutieuse.
Social Room Cybelimage

L’atout de la Social Room

Elle empêche une animation passive et routinière des réseaux sociaux tout en offrant aux animateurs de communautés un cadre propice à la réflexion afin qu’ils puissent poster des réponses intelligentes et convaincantes aux controverses créées par des acheteurs contrariés ou des détracteurs. Parallèlement, la Social Room cultive la réactivité des Community Managers : c’est avec une grande rapidité qu’ils donnent les précisions et les informations demandées par des membres de la communauté de fans et d’abonnés. En somme, pour une marque, la Social Room vient enrichir le panel d’outils à sa disposition dans le dessein d’entretenir une relation privilégiée avec ses clients.

Au service des diverses politiques de l’entreprise

Tirer des leçons des commentaires négatifs et positifs pour apporter les correctifs qui s’imposent aux stratégies de l’entreprise : en définitive, voilà ce que permettent indirectement les informations exhibées sur les écrans d’une Social Room. Tous les domaines, les aspects de la vie d’une entreprise, sont concernés : marketing, commercial, social média, de la recherche et développement, de l’innovation, environnemental, tarifaire, qualitatif… Au même titre que la comptabilité, la Social Room et le bilan qu’elle aide à établir régulièrement peuvent donc être considérés comme des outils d’aide à la décision et à la gestion. Mais il n’y a pas que cela. La Social Room agit à la manière d’un lanceur d’alerte. Plus précisément, son intégration dans votre stratégie de webmarketing vous offre la possibilité de corriger à temps vos démarches et vos actions sur les réseaux sociaux afin qu’elles soient bien plus fructueuses. Vous saurez, par exemple, si vous êtes trop passifs ou si vos interventions sont intempestives.

Un dispositif de plus en plus sollicité

Les entreprises ne sont plus hésitantes et lorsqu’elles se lancent, elles affichent leur fierté à l’égard de leur dispositif de Social Room. Il faut dire qu’elles ont toute à gagner en investissant dans cette démarche : les consommateurs sont rassurés d’apprendre que la marque chez qui ils sont clients travaille sa réactivité et affiche une disponibilité à leur égard. Le mardi 11 octobre 2016, par exemple, la SNCF a annoncé l’ouverture de sa Social Room. C’est là que sont surveillées les 1600 interventions quotidiennes de clients sur ses profils corporates afin d’y répondre chaque fois que cela est nécessaire. Un voyageur particulièrement remonté, suite à l’annulation de son train, envoie des tweets désobligeants à la compagnie. Dans la Social Room, le community manager les repèrent tout de suite. Il répond instantanément à l’auteur des messages pour le calmer et le rassurer. Europe 1 a également créé une Social Room depuis laquelle les invités de la chaîne répondent en direct aux questions posées par les téléspectateurs sur Facebook et Twitter.

Cybelimage : le bâtisseur de votre Social Room

Vous êtes une entreprise, une organisation, une association. À la lumière de cette longue introduction, vous avez vraisemblablement compris le message. Pensez sérieusement à aménager une Social Room pour être au plus près de vos cibles. Comment mettre en place, mais surtout, comment équiper cette fameuse Social Room ? Contactez Cybelimage qui concoctera pour vous la solution adéquate. Derrière ce nom caressant construit sur la base d’un jeu de mots à l’originalité fascinante se dresse une agence de community managers. Ces derniers n’ont pas uniquement pour mission de gérer votre page Facebook, votre compte sur Twitter et autres plates-formes de réseau social. Ils sont très versés en stratégie digitale, et à ce titre, les arcanes de l’élaboration et de déploiement d’actions webmarketing leur sont entièrement connus. L’expertise de Cybelimage dans ces domaines justifie sa présence sur cette toute nouvelle « discipline » qu’est la Social Room.

La solution Cybelimage

Concrètement, et schématiquement, l’agence met à votre disposition un écran très spécifique. Il affiche en temps réel un compte rendu des actions en train de se dérouler au sein de vos comptes ouverts sur les réseaux sociaux d’une part, de vos activités sur Internet d’autre part. Ce reporting intègre des informations quantitatives (nombre de tweets par exemple), des graphiques (le classement des membres les plus assidus de votre équipe dans la rédaction d’articles sur LinkedIn Pulse par exemple), des timelines (vos statuts sur votre profil Facebook par exemple), la liste intégrale de vos contenus éditoriaux (vos publications sur votre blog par exemple). Cette prestation est disponible pour deux types de missions à commander séparément ou ensemble : stratégie digitale et community management.

L’offre « Social Room Smart TV » de Cybelimage

A partir de certains forfaits de community management, Cybelimage met à la disposition de ses clients une « Social Room Smart TV ». Sur celle-ci figure les principaux KPIs de la marque du client (adapté aux réseaux sociaux qu’ils fréquentent) mais aussi un classement des ambassadeurs de la marque (interne ou externe). C’est donc une merveilleuse façon de suivre la présence de l’entreprise sur les réseaux sociaux mais aussi d’encourager les équipes commerciales et marketing.

Les réseaux sociaux font du neuf avec du vieux

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RéseautageAprès Instagram et ses «stories» au parfum de Snapchat, YouTube se préparerait à devenir un vrai concurrent de Facebook.


YouTube, ce n’est que de la vidéo, rien de plus. Pour des images d’un chaton sur un toboggan, d’une star des années 80 ou d’un sketch des Nuls, c’est sur ce site que vous irez. Mais votre expérience pourrait bien changer. Le site VentureBeat.com révèle que la plate-forme prépare un gros chambardement de nouveautés et d’options: partage de statuts, photos, sondages et encore des liens. Petit nom de cette opération prévue avant la fin de l’année, voire dès l’automne: Backstage (coulisses, en français).
Ces nouveautés en sont réduites à leur plus simple expression, et n’ont que l’apparence du neuf. Vous l’aviez déjà remarqué, non? Ces fonctions existent déjà sur les autres réseaux sociaux: Facebook, Twitter ou Instagram. C’est que Google, à qui appartient YouTube, peine à se battre contre les grands avec son réseau social Google + qui n’a jamais marché et ne marchera probablement jamais, vu la décision d’investir dans le cousin cool qui fait des vidéos. Sage décision aussi, selon le site Presse-citron.net, puisque les stars comme Cyprien ou Norman diffusent sur YouTube et qu’elles doivent pouvoir y discuter avec leurs fans au lieu de s’exiler sur Facebook ou Twitter.
Cet été, vous l’avez peut-être raté si vous étiez sur la plage, Instagram a sorti ses «stories»: ensemble éphémère de photos et de vidéos. Cela vous dit quelque chose? Oui: c’est le principe même de Snapchat. Rien de nouveau. Ou du nouveau encore qui n’a rien de neuf. Prions ensemble pour de l’innovation. La vraie. (24 heures)




mercredi 16 août 2017

DERNIERES OFFRES D'EMPLOI INFORMATIQUE AU CAMEROUN

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N'hésitez pas à vous abonnez à notre blog pour avoir les alertes d'offres d'emploi en informatique chaque jour.


1) RESPONSABLE DES INFRASTRUCTURES ET DE LA PRODUCTION INFORMATIQUE


3) RESPONSABLE DES SERVICES INFORMATIQUES


4) RESPONSABLE TELECOMS & RESEAUX


5) RESPONSABLE DE PARC INFORMATIQUE



Source : Jumia


Avis de recrutement : Informaticien Gestionnaire de Base des Données

AVIS DE RECRUTEMENT
Dans le cadre du renforcement de ses capacités, le Centre Interrégional de Coordination (CIC) pour la mise en œuvre de la stratégie de Sûreté et de Sécurité maritimes dans le Golfe de Guinée recrute :
Service : Division Gestion de l'information et de la Communication
Titre du poste : Informaticien Gestionnaire de Base des Données
Type de recrutement : Recrutement local
Grade : G3
Lieu d'affectation : Yaoundé, Cameroun
Référence : N°……./CIC/DAF/17
Type de contrat : CDI
Limite d'âge : 50 ans
I- Missions inhérentes au poste :

  • Créer, administrer les Bases de données et le site web du CIC et garantir l'accès sécurisé de toutes les données importantes ;
  • Instaurer un niveau de sécurité optimal afin d'éviter les intrusions dans le système, les pertes et la diffusion d'informations sensibles et confidentielles ;
  • Superviser les logiciels employés et optimiser les informations stockées grâce à des mises à jours périodiques ;
  • Mettre en place des interfaces et des applications propres à la gestion des bases de données de chaque Service ;
  • Aider à l'analyse et à l'exploitation des données ;
  • Assurer la maintenance du parc informatique de l'ensemble du Centre ;
  • Assister le personnel dans la mise à jour et la maitrise des logiciels d'application ;
  • Assurer la formation continue du personnel dans le domaine informatique ;
  • Garantir la compatibilité du matériel informatique du Centre ;
  • Garantir la disponibilité, la confidentialité et la sécurité du réseau interne du Centre ;
  • Participer à l'élaboration du cahier de charges de l'entretien et des réparations en cas d'intervention extérieure ;
  • Participer au plan d'acquisition et de renouvellement du matériel informatique du centre ;
  • Contribuer à la vidéo-surveillance du site CIC ;
  • Faire l'état des besoins en fourniture, en consommable et matériel de rechange ;
  • Exécuter toute autre tâche mission confiée dans l'intérêt du service.

II- Qualifications et compétences requises :

  • Etre ressortissant d'un des Etats membres de la CEDEAO ou de la CEEAC et justifier d'une résidence légale sur le territoire Camerounais ;
  • Etre titulaire d'un DUT en Informatique, un BTS en SIO Services Informatiques, d'une Licence Pro ou d'un Master Pro avec une maîtrise parfaite des réseaux des SGBD, Oracle, MySQL, Sybase ou SQL Server ainsi que les langues de requêtes et de programmation ;
  • Avoir une expérience professionnelle d'au moins trois (03) ans ;
  • Avoir une expérience en méthodologie d'indexation et en classification dans le domaine de la gestion et de la gestion documentaire serait un atout ;
  • Maîtriser les différentes règles de sécurité informatique et les procédures données ;
  • Avoir participé au processus de Yaoundé serait un atout ;
  • Avoir une bonne maitrise de l'anglais et du français ;
  • Etre apte à travailler dans un environnement multiculturel et sous pression ;
  • Faire preuve d'intégrité de rigueur, de disponibilité, de réactivité et d'une bonne capacité d'analyse ;
  • Etre apte à exécuter toutes missions dans l'intérêt du CIC.

Le dossier de candidature, scanné puis envoyé à l'adresse suivante : icc_recruitment@yahoo.com au plus tard le 18 Août 2017, doivent comporter les pièces suivantes :

  • Un Curriculum Vitae ;
  • Une lettre de motivation adressée à Monsieur le Directeur Exécutif du Centre interrégional de Coordination ;
  • Une copie certifiée conforme des diplômes obtenus ;
  • Un certificat de nationalité.

Seuls les candidat(e)s retenu(e)s seront convoqué(e)s/ les candidats féminines sont particulièrement encouragées



mardi 15 août 2017

Pourquoi les chaînes de télévision sont si actives sur Twitter

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Les groupes de médias utilisent fortement les réseaux sociaux, pour fidéliser leur public et à des fins publicitaires. Le nombre de tweets relatifs au petit écran a fortement explosé en 2017.
Le « # " est devenu un signe du petit écran à part entière. Pendant que l'on regarde la télévision, on en parle aussi sur son mobile, sa tablette ou son ordinateur. « Grâce aux réseaux sociaux comme Twitter, on crée le plus grand canapé virtuel du monde ". Près d'un twittos sur deux dans le monde utilise régulièrement le site de micro-blogging devant son poste de TV.
Les chaînes n'ont pas pu rester à l'écart de cette tendance : elles utilisent de plus en plus le petit oiseau bleu pour faire connaître leur programmes, les promouvoir, fidéliser les téléspectateurs, et s'approprier les codes des plus jeunes, qui ont tendance à délaisser l'écran du salon.
Campagnes communes entre les chaînes et les annonceurs
Mais Twitter est aussi de plus en plus utilisé à des fins publicitaires. « Les réseaux sociaux sont devenus un facteur important des revenus publicitaires : ils contribuent à créer de l'audience TV, notamment chez les jeunes, mais aussi de l'audience digitale. 30 % d u trafic Web et mobile vient des réseaux sociaux ».
Les chaînes et les annonceurs lancent ainsi des campagnes communes. Par exemple, des vidéos avec des statistiques sur un match de foot avec Nissan, ou des moments forts de Roland Garros avec BNP Paribas. Des messages sont judicieusement envoyés au moment de la coupure pub, pour inciter les téléspectateurs à rester devant la publicité et éviter qu'ils ne soient tentés de zapper.
Plus que doubler la considération d'achat.
D'après les données de Twitter, parmi les twittos qui sont devant leur télé, 74 % recherchent sur le fil une marque ou un produit qu'ils viennent de voir à la télévision. Une campagne de pub croisée TV/Twitter permet ainsi de plus que doubler la considération d'achat.
Grace à l'emprise de Twitter et les efforts des groupes de médias pour conquérir de plus en plus de followers, le nombre de messages postés sur la télévision a  fortement augmenté en 2016-2017.

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Définir une stratégie de veille et de gestion de son eReputation

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Avec la montée en puissance des réseaux sociaux et l’évolution des tendances participatives sur internet, les prises de paroles se multiplient en faveur ou à l’encontre d’une marque, d’un produit, etc.
L’eReputation devient un axe primordial à prendre en compte dans l’optimisation de toute stratégie de communication et de promotion. L’impact de l’identité numérique sur la perception de son image et son message ne peut plus être ignoré.
Assurer la veille de son eReputation est indispensable. Cependant, l’intérêt d’une veille réside dans la volonté de l’entreprise à en tirer les conclusions qui permettront d’influer sur son eRéputation.
C’est en utilisant les canaux privilégiés des internautes qu’une marque pourra gérer sa eRéputation et pourra créer ce lien affinitaire tant recherché, en assurant sa visibilité et en valorisant sa communication. Créer le dialogue avec ses clients permet de mieux les conquérir et de faire d’eux des ambassadeurs de la marque, les interroger et construire avec eux, en fonction de leurs attentes, les produits de demain.
L’impact d’une e-reputation négative est multiple. Cela valorisera la concurrence et le ROI des campagnes marketing en sera forcément affecté. Gérer son e-reputation est un travail qui doit être envisagé sur la durée et avec méthode (voir illustration en têtière)

Phase 1 : Faire l’état des lieux

Evaluer ce qui se dit sur sa marque, ses produits ou services, ses dirigeants,…en privilégiant les canaux à forte audience. Il faut donc savoir se poser des limites sur le périmètre de veille. Mais il ne faut pas oublier d’appliquer la même méthodologie à la veille de la concurrence. Cette veille concurrentielle est primordiale pour la collecte d’informations et l’identification de nouvelles tendances.
Cet état des lieux permet d’identifier les sources, sa part de voix, la tonalité (positive ou négative) et dresser ainsi l’image de sa réputation.
Les outils de veille :
De nombreux outils gratuits sont proposés sur internet permettant d’assurer une veille de eReputation. La liste ci-dessous, si elle n’est pas exhaustive, permet d’identifier le potentiel d’outils à disposition.
Les outils génériques: Google Alert, Alerti, Mention,…
Les outils spécifiques :
  • Veille spécifique Twitter : Hootsuite, Cotweet, Echofon, Twilert, Tweetbeep…
  • Veille spécifique Facebook : Hyperalert, Booshaka
  • Veille des blogs : Icerocket…
  • Veille des forums : Boardreader…
  • Veille des réseaux sociaux : Samepoint, Topsy, Whostalkin, Socialmention…
Les gestionnaires de flux comme Google Reader et Netvibes permettent de se créer un tableau de bord en fonction de thématiques, sources,…
Bien sûr, s’agissant d’outils gratuits, il n’est pas possible d’archiver les alertes et les contenus.
L’utilisation d’outils gratuits montre vite ses limites et ne sera donc pas adaptée aux entreprises dont le volume de commentaires sur le web est important, ou si le périmètre de veille est large.
Il faudra alors se tourner vers des solutions professionnelles de veille qui, une fois paramétrées, collecteront automatiquement les données pour les restituer dans une seule plateforme sous forme de synthèses et de graphiques. Une solution professionnelle de ce type sera plus efficace et probablement plus rentable que d’allouer du temps d’un collaborateur à jongler avec plusieurs outils gratuits, collecter les donner, les stocker, les remettre en forme et en restituer l’analyse.

Phase 2 : Définir ses objectifs

Sur la base de l’état des lieux et de ses besoins, il sera possible (et nécessaire) de définir ses objectifs. Les applications peuvent être multiples, que l’on soit dans un contexte B2C ou B2B, et la gestion de la réputation peut revêtir des formes différentes en fonction des besoins. L’approche devra être adaptée :
Communication externe (branding), Recrutement (Marque-Employeur), Prospection, Ventes, R&D, Service clients, Fidélisation,…
<inserer image eReputation_strategies multiples>
C’est seulement une fois que l’objectif est identifié, que l’on posera la question du levier de communication adapté. Quel réseau social sera le plus adapté à ma cible et à mon message ?
Ce message est d’ailleurs un point crucial. Quel contenu sera proposé, quelle histoire sera racontée. A chaque cible son message et son levier de communication.

Phase 3 : S’organiser et planifier

Gérer et veiller son eReputation peut très vite être chronophage. La mise en œuvre de sa stratégie implique donc une organisation rigoureuse. Identifier les impacts potentiels sur son organisation, définir les rôles, sensibiliser les collaborateurs, former aux outils et aux usages sur les réseaux sociaux, etc…Se lancer sans être préparé est aussi dangereux que de créer des profils sociaux en dehors de toute stratégie.

Phase 4 : Gérer

Gérer sa réputation ne signifie pas seulement faire supprimer des articles indésirables. Ce type d’actions que l’on pourrait assimiler à de la censure n’a en fait aucun effet sur le long terme. Si des articles ou des commentaires ternissent votre réputation, peut-être faut-il se poser la question de ce qui les motive. Votre produit ou vos services sont-ils aussi satisfaisants que vous le pensez ? Ces commentaires ne reflètent-ils pas finalement l’avis de vos clients ? Les avez-vous interrogés ? Mais toutes ces questions ont normalement été traitées lors de la phase d’évaluation.
Gérer sa réputation signifie qu’à ce stade il faut communiquer, s’impliquer dans des échanges et apporter une réelle plus-value au contenu que l’on va diffuser pour asseoir sa crédibilité et tendre vers le but recherché : valoriser sa réputation pour un objectif précis.
Le cycle de veille
Le cycle de veille

Phase 5 : Veiller

Il convient de mesurer l’évolution de son eReputation suite à la mise en place des différentes actions et analyser les résultats. Le recours aux outils de veille évoqués dans la Phase 1 se fera sur la base des objectifs définis dans le cadre de la stratégie.
Il faut définir son périmètre de veille et les mesures à suivre (quantitatives et qualitatives), comme par exemple :
  • Portée du message : il s’agit du nombre de mentions sur les différents réseaux sociaux, blogs, forums, etc…en tenant compte du degré d’engagement et d’influence de la communauté.
  • Conversations : identifier les thématiques discutées et les opinions/réactions qu’elles suscitent.
  • Visibilité : Nombre de fans, followers, mentions, commentaires, etc.
Bien sûr, toutes ces mesures seront d’autant plus intéressantes et significatives si elles sont comparées au marché et à la concurrence.
La veille devient alors un processus itératif qui conduira à reproduire les différentes étapes et adapter la mise en œuvre de sa stratégie en fonction des résultats constatés.